Aperçu des sections
Généralités
Langue française 1
Intitulé de la matière Tl 12 : Langue française 1Objectifs de l’enseignement :
Mise à niveau des connaissances des étudiants en matière de langue française. Les cours
seront axés sur la ponctuation ,les déterminants qui sont essentiels dans la composition des phrases,ceci en utilisant le répertoire terminologique de géographie,ce qui correspond à la filière "géographie et aménagement du territoire."
Objectifs d’apprentissage :
- Faire une approche du langage de géographie, (lexique de géographie).
- L’initiation à l’établissement des commentaires, à l'aide du vocabulaire géographique.
- S'imprégner du répertoire terminologique qui est caractérisé par son hétérogénéité
- Nécessité de définir le sens des mots utilisés par les géographes.
Lien Google Classroom
https://classroom.google.com/c/NTkwODUyMDIxNzYy?cjc=kdvpss7
TD
Répondez aux questions après la lecture de ce texte
Annaba ville métropolitaine de l’Est Algérien où l’agriculture fut pendant la période coloniale la vocation primordiale. Par la suite c'est-à-dire à partir des années 1970, la ville en question a opté pour l’industrie.
La mutation de celle-ci a engendré un phénomène social beaucoup plus crucial qui est l’exode rural. Les conséquences de cette situation demeurent d’actualité jusqu’à nos jours. Un flux grandissant de la population rurale arrive vers le chef-lieu de la commune d’Annaba. Les constructions précaires et illicites se sont implantées à l’intérieur et à la périphérie immédiate de la ville. Néanmoins les structures d’accueil, surtout en matière de logements n’ont pu répondre aux besoins de cette population, ce phénomène a entraîné une délicate situation.
Malgré les orientations et la politique adoptée, dans le cadre des programmes de réalisations de logements pour réduire et absorber le manque à gagner en matière d’habitat, le phénomène reste sans solution jusqu’à l’heure.
Aussi la lenteur lors de l’exécution et la réalisation des différents programmes de logement entraine un décalage en faveur des constructions illicites. Ce phénomène a créé une occupation non règlementaire de l’espace, à l’intérieur et à la périphérie immédiate de l’espace urbain de la ville d’Annaba. Cette situation a engendré une entrave à l’évolution de l’espace urbain de la ville en question. L’objectif de cette étude est d’essayer de contribuer à mettre en place une approche d’évaluation, d’orientation et de l’évolution de l’espace urbain, en se basant sur les éléments suivants : les données démographiques, l’analyse des espaces urbains ainsi que la situation géographique de la ville d’Annaba.
Question 01 :
Donner un titre à ce texte.
Question 02 :
Quels sont : le participe présent, et le participe passé des verbes suivants : Faire ; Réduire ; Créer, Mettre, Répondre, Contribuer.
Question 03 :
Définir les termes qui sont écrits en gras et soulignés dans le texte.
Question 04 :
Faire ressortir en quelques lignes l’idée générale de l’auteur.
à déposer sur :
https://classroom.google.com/c/NTkwODUyMDIxNzYy/a/NjQyNDY3NzgzNDE0/details
Après lecture de ce texte vous répondez aux questions.
Les rues bien propres, biens entretenues, grouillées d'un monde tout en couleur, où la chéchia, les gilets, la montre à gousset dont la chaînette pendait au veston, le chèche teinté de couleur jaune ou de blanc immaculé, la djellaba et le burnous, redoubler de rivalités.
Les faits divers étaient rarissimes, et le respect mutuel et profond était un des commandements de la culture citadine. Pour l'eau potable, le porteur d'eau, figure emblématique de la casbah, indispensable dans la vie de tous les jours, considéré comme partie intégrale de la famille et la vie sociale, appelait El biskri, en raison de son origine du sud algérien, installé depuis plusieurs générations, ainsi que beaucoup d'autre de sa région, ramenait l'eau dans des grandes cruches en cuivre, certainement héritées du père, du grand père et peut être plus, contre une pièce d'argent très minime.
Ce personnage légendaire, connu et surtout respecté de tous, commençait sont travail très tôt le matin, faisait le va et vient entre la fontaine publique et la maison, déversée sans gâchis, le contenu de ces deux cruches de 15 litres chacune, dans des grands récipients prévus à cet effet, et sauf événement spécial, chaque maison se contentait de cette quantité pour toute la journée ou plus, car la valeur de l'eau était considérable dans le cœur de tous les casbadjis, aucun excès n'était vu ni toléré, malgré sa gratuité.
Questions
- Donnez un titre à ce texte
- Relevez dans le texte les verbes conjugués à l’imparfait et donnez l’infinitif de chacun d’entre eux
- Après une lecture attentive du texte, essayez d’expliquer en quatre ou cinq lignes le mode de vie sociale et culturel de la population casbadjie
https://classroom.google.com/c/NTkwODUyMDIxNzYy/a/NjQyNDY3NTk4OTM2/details